1. Les organisations produisant des richesses en France
Pour rendre compte des différentes organisations participant à la production
de et de au sein d’un pays,
les économistes ont élaboré un certain nombre de . Tout d’abord,
l’économiste opère une distinction entre la , correspondant à
l’ensemble des et destinés
à être vendus à un prix qui couvre plus de la moitié des coûts de production, de
la , soient les produits gratuits ou vendus à un prix
économiquement non significatif. Cette séparation suivant la nature de la production permet de
mettre en évident trois grands types d’organisations productives. En premier lieu, on trouve les
entreprises, actrices majeures de la création de richesses. Elles ont par définition,
une qu’elle soit à but lucratif ou non. Dans ce dernier cas,
les entreprises à but non lucratif, auxquelles appartient une partie
des , sont regroupées sous le terme d’économie sociale et
solidaire. Il y a également les , des organisations appartenant
et placées sous l’autorité de l’Etat, dont l’activité principale est de fournir des produits non
marchands. Enfin, la plus large part des sont
des . Ces poursuivent un
objectif d’intérêt général et ont une .
Les ne doivent pas être confondues avec
les . En effet, même si comme la plupart
des , les fournissent des
produits non marchands, en revanche, les sont des
organisations alors que
les sont des
organisations .
Correction :
Pour rendre compte des différentes organisations participant à la production
de biens et de services au sein d’un pays, les
économistes ont élaboré un certain nombre de concepts. Tout d’abord,
l’économiste opère une distinction entre la production marchande,
correspondant à l’ensemble des biens et services
destinés à être vendus à un prix qui couvre plus de la moitié des coûts de production,
de la production non marchande, soient les produits gratuits ou vendus à un
prix économiquement non significatif. Cette séparation suivant la nature de la production
permet de mettre en évident trois grands types d’organisations productives. En premier lieu,
on trouve les entreprises, actrices majeures de la création de richesses. Elles ont par
définition, une production marchande qu’elle soit à but lucratif ou non.
Dans ce dernier cas, les entreprises à but non lucratif, auxquelles appartient une partie
des associations, sont regroupées sous le terme d’économie sociale et
solidaire. Il y a également les administrations publiques, des organisations
appartenant et placées sous l’autorité de l’Etat, dont l’activité principale est de fournir
des produits non marchands. Enfin, la plus large part des associations sont
des institutions sans but lucratif au service des ménages. Ces associations
poursuivent un objectif d’intérêt général et ont une production non marchande. Les associations
ne doivent pas être confondues avec les administrations publiques. En effet, même si comme la
plupart des associations, les administrations publiques fournissent des produits
non marchands, en revanche, les administrations publiques sont des
organisations publiques alors que les associations sont des
organisations privées.